globeadventureshorizons


Monday, March 24, 2014

! QUE PASO, SANTO DOMINGO? THE HAITIAN-DOMINICAN QUESTION



! QUE PASO, SANTO DOMINGO ?








LOUIS' HANDS




FREEDOM  FOR RESTAVEK




I met 60-year-old Louis while visiting a batey in the Dominican Republic. He’s been cutting sugarcane for 40 years. His hands have the texture of an elephant’s hide. He was born in Haiti, but he’s no longer fluent in Creole, his mother tongue. He doesn’t have a nationality, for his birth was never registered; he’s undocumented. He works twelve hours a day, six days a week, and taxes are taken from his pay. He can barely feed his family. Because he is undocumented, he’s not eligible for retirement benefits, and his children, born on Dominican soil, are denied citizenship. Each time I consume anything sweet I remember Louis’ hands.
JR CADET










Thursday, March 20, 2014

BOOK: : I AM MALALA



BACK FROM HELL

When she was fifteen, she almost paid the ultimate price. She was shot in the head at point-blank range while riding the bus home from school and few expected her to survive” wrote her co author

Published in 2013 by Little, Brown and Company, I AM MALALA  is a kind of fresh autobiography written with  a beautiful voice  by a 15 year old girl who survived her shooting, on Tuesday October 9, 2012.

Personal tone ,  novel –like work and forays in India distant and recent history,...I AM MALALA announces the coming Muslim world, a peaceful one. A dedicated daughter of a really father, Malala wishes education, freedom and achievement for all the boys and the girls the world over.


Listen:
When I stand in front on my window and look out, I see tall buildings, long roads full of vehicles moving in orderly lines, neat green hedges and lawns, and tidy pavements to walk on. I close my eyes and for a moment ti am back in my valley-the high –snow-topped mountains, green waving fields and fresh blue rivers-and my heart smiles when it looks at the people of Swat. My mind transports me back to my school and there I am reunited with my friends and teachers. I meet my best friend Moniba and we sit together, talking and joking as if I had never left.

Then, I remember I am in Birmingham, England.

The school was founded by my father before I was born, and on the wall above us KHUSHL SCHOOL was painted proudly in red and white letters.

I love my god. I thank my Allah. I talk to him all day. Peace in every home. every street, every village, every country, this is my dream. Education for every boy a and every girl in the world.

I am Malala. My world had changed but I have not.












Tuesday, March 18, 2014

Sunday, March 16, 2014

RENOUVEAU CATHOLIQUE EN HAITI

CARDINAL CHILBY LANGLOIS
Here are the impressions of Ms Elisabeth Fantal who attended the ceremony of the new Haitian cardinal at the Vatican, Rome, Italy in the beginning of March 2014. Ms Fantal lives in Boston, Mass

Cardinal Langlois is a kind, humble, loving man with a very soft spot for the poor, and an advocate for peace. This is way before he ever knew he could become a cardinal. From when he started as a priest, became a bishop, we have not heard any unpleasant remark about him. All we hear is: he always live a simple life.
 He is very concerned about our retired priest who has no one to turn to after giving their whole youth, their whole life in public service. As you might know yourself, a priest in a parish in Haiti is usually responsible for not only the church he is based at, but also feeding the  community, providing water, locomotion and even creating road and maintain them. The most common break they have is when they are sent to serve as missionary in different part of the world.

 Most of them after their mission away here in America or elsewhere, returned home with no income, no healthcare benefits, no pension, or life savings. They are mostly waiting for a helping hand if it comes and when it comes to them. The only difference is the fact they are not waiting on street's corner, but it's not impossible. That is Cardinal Chibly Langlois' main concern. 
Anyway, I have only spoken to him in three occasions, not for long, but I could see in him humility, genuine love for the poor, and a peace maker.

I have assisted to a couple of his sermon, once at St Ann in Somerville MA when he was a bishop, and at his first mass as a cardinal with the Haitian community in Rome Italy.

Saturday, March 15, 2014

ELIE LESCOT: UNE SEULE SOURCE POURTANT DE FLEUVES POUR


FEMMES, MYSTICISME VODOU ET EPOPEE
















L
e jeune peintre Elie Lescot a développé au fil du temps  avec l’imaginaire une relation qui tient d’un romantisme un peu parnassien, bien sur, mais qui embrasse en même temps  un ensemble encore en plein essor de ces images nées d’une vision inattendue du monde. Mr Lescot est ne avec la peinture e, mais est tout aussi vrai, savoir que l’art l’attendait quelque part. Maniant la palette a peine sorti de l’enfance,  Mr. Lescot peintre des femmes au cou de cygne passerait bien sur pour un peintre bon enfant qui idéalise la forme physique d’un sexe  a la fois faible et fort.  Mais, en pleine maturité, le peintre est en train de nous prouver qu’il sait aussi, loin des jupes, s’exposer au vent du large.
D’abord, d’un point de vue parental, Lescot n’a jamais pardonne a son grand-père, le président Elie Leocardi Lescot, d’avoir intronise le dechoukaj vodou d 1942, lors d la fameuse campagne des rejetés.  A l’époque, la colonisation, menée sournoisement, sous couvert de modernité et d’œuvre civilisatrice, s’attaquait profondément à l’âme haïtienne. Les conséquences seront des plus désastreuses.  Mais, par un de ces grands retours de l’histoire, voici que le petit fils de notre ambigu de président, envisage de revaloriser la religion nationale par la magie de l’art.  On a dit que tout commençait en religion et finissait en politique.  Mr. Lescot croit éperdument que dans son panthéon pictural, le vodou n’est pas uniquement un legacy luciférien, cet ange porteur de lumière.  Un rocher jeté dans les mers caraïbes, et expose a toutes sortes d’impérialismes,  Haïti se refugie dans le vodou, sort de pain quotidien que les évangélistes n’ont de cesse d’attaquer.

Vision Epique

P
hilome Obin, André Pierre avaient déjà donne des lettres de noblesse au vodou. Mr. Lescot lui promène sur le vodou cette sorte de grâce juvénile, avec ses tètes de femme qui rappellent les maitresses d’eau haïtiennes et les sirènes du panthéon  maritime grec. Poséidon doit lui en vouloir, mais Lescot humanise ces déesses marines avec une palette qui rappelle par endroits Laurenceau et en d’autres  ces yeux qui parlent de Jean Claude legagneur, peintre du regard…
Il faut voir  Mr. Lescot, chez lui, a son atelier pour tout dire. Hyperactif, ce peintre est d’une politesse non étudiée, avec une culture qui surprend et amuse à la fois. Ouvert, d’une générosité de cœur et d’esprit,  Mr. Lescot est d’une créativité insondable. Sans doute, sa jeunesse y est pour quelque chose. Sorte de génie tourmente,  il gagnerait a se mettre a l’école des grands classiques européens tels que Nicolas Poussin et Delacroix..La preuve en est que l’histoire le tente.  Mais, comme ces peintres de la mythologie, Lescot reste surtout le peintre des femmes au long cou, des tètes d’homme, des vieillards auquel il faut une pipe et tout aussi bien le peintre de l’épopée.

La Nuit Du Feu


A
 ce compte, son tableau La Liberté  est une synthèse de ses sources d’inspiration.
Mr.  est en train de vivre son propre 1804. Une fois, son tableau Catherine Flon, sorte de symphonie inachevée, avait retenu notre attention.  Pourtant, c’est la tourmente qui se dégage de son maitre d’œuvre picturale : la liberté qui traduit dans l’ivresse de la délivrance, cette fragilité et cette obsession à la limite pathologique qui est l’héritage national haïtien.
LIBERTE De Elie Lescot
Bookman est la, avec sa machette, le feu libérateur ( que les historiens appellent : the First Night of Fire ; Christophe fera la seconde nuit du feu en incendiant le Cap en février 1802) est présent aussi dans cette nuit profonde de l’hinterland limbeen de 1791. Un peu plus loin, voici les chevaux peut etre ceux de Vertieres ou s’immortalisa Capois, puis la conque et une tète de femme. En somme, la liberté aura eu un prix lourd a payer en Haïti, terre indienne, attirante mais insaisissable depuis les indiens caraïbes. Rendu comme au milieu d’un tourbillon de nuage,  cet ensemble  épique résume et annonce comme les bouleversements futurs de la nation haïtienne.  Mr. Lescot lui même comme tout créateur doit succomber sous le poids de sa créature. On a dit que Dieu lui-même n’a pas su résister a Eve ; la conquête dévore le conquérant, ajouterait   Jean d’Omerson
Souhaitons au jeune Lescot de ne point connaitre le sort des créateurs.  Quand le génie engendre, c’est au prix d’une fièvre non toujours salutaire pour l’esprit.  Lescot contemple certes ses marines, ses tetes de femme, ses nuits vaudou, le tout  jeté dans un bleu un peu cosmique qui repose l’esprit et les sens.  La Liberté, en tant que fresque picturale historique, en dit assez sur les perturbations  et les délires qu’engendre l’histoire haïtienne, une histoire trop grande pour nos paysans, ces passagers qui, a la fin de leur escale caraïbe, s’en retourneront en Guinée.  Le vodou chez Lescot se veut patience et paix, comme si la meilleure façon de vaincre l’Occident, c’est de lui opposer les armes que, cartésien, il ne maitrise pas.
Tel est peut être le message de notre peintre, Elie Lescot.
Catherine Flon et le bicolore haitien
d'Elie Lescot

Friday, March 14, 2014

LE GRAND MEAULNES ...CENT ANS DEJA.( frantz bataille)



LE GRAND MEAULNES

CENT ANS PLUS TARD.....













                             ...... Le ton déjà annonce tout ce qu'il y a de fragile dans cette aventure nouée dans ces villages très vieille France prêts à rentrer dans le vingtième siècle européen et ses incertitudes. Roman d'aventure et d'une jeunesse encore  pleine d'idéaux et de doute, Le Grand Meaulnes, sorti en 1913, donc centenaire, transporte jusque sur nos rivages les épaves d'un 19 ème finissant, avec ses rêves, ses angoisses et ses secrètes interrogations. L'amour, par exemple, a-t-il la fragilite d'une bulle d'air ? question qu'une telle jeunesse ignore, peu de temps avant le depart d'Alain Fournier pour le front...

Ce jeune auteur soldat,  Alain Fournier, devait trouver la mort aux premiers jours de la Grande guerre (1914-1919) 

LE GRAND MEAULNES ( extrait)



    Il arriva chez nous un dimanche de novembre 189...

Je continue à dire « chez nous », bien que la maison ne nous appartienne plus.
Nous avons quitté le pays depuis bientôt quinze ans et nous n'y reviendrons certainement jamais.
Nous habitions les bâtiments du Cours supérieur de Sainte-Agathe.
Mon père, que j'appelais M. Seurel, comme les autres élèves, y dirigeait à la fois le Cours supérieur, où l'on préparait le brevet d'instituteur, et le Cours moyen.

Ma mère faisait la petite classe...

Thursday, March 13, 2014

THE BIRDS OF IRAQ..FEBRUARY 2014.( frantz bataille)


LIBRARY LIFE
Pink backed Pelican
L
ife goes on anywhere even in an torn –war Iraq

That is the lesson we can draw form a kind of candid book written by Jonathan Trouern-Trend of the Connecticut National, a 38-yearo old army sergeant who fell in love as he used his spare time to  go bird-watching.
Birds had been continuing to fly even planes and apaches helicopters brought  fire and death in the heart of Iraq desert. But, how much comfort the bird watching sergeant brings to us as a promise of hope in the mist of shelling! Maybe death is a daily spectacle. What does not stop life from booing is when as quietly as possible, birds take the time to sing, mate and brings life to forests, trees and mountains.
Jonatahn Troern-Trend seems have to be blessed to watch such bird ballet. A birdwatcher since he was a boy, the Economist wrote in 2004,JTT has displayed in his very illustrated book the best of Ira’ birds. The camp where he stayed was full of wildlife.
JTT has try to save this wildlife “ knowing that wood pigeons and kingfisher” continue their flying despite what people happen to be doing “.


The Birds of Iraq ( Sierra Club Books) is a book to childhood and would be born again people


ROBERT GATES AT WAR

A personal journey through politics and battle fields ,  this memoir looks like a Colins Powell's and those who served in Washington before him.  Duty of  a  Secretary at war, was written with deep feelings for the troops and America. After serving two presidents Bush and Obama, Robert M. Gates is now back to private life. But how unforgettable are soldiers and officers who continue to fight for America and its values and officials M. Gates  had been glancing at . In his memoirs,  due to bureaucracy intrigues, M. Gates seems not to be too happy without lose  his candid  tone and serenity. A book of courage and   would be politics wisdom..











WYCLEF JEAN  
With  ANTHONY BOZZA
An Immigrant Story
Purposeit books 2012
Bob Marley, like JC, led a life that  has inspired just about every his music. I'm
not a legend like Bob Marley, but I am going to try my best to do for Haiti what he did for Jamaica.

THE BLOOD TELEGRAM
GARY BASS
Alfred A Knop
2013
About war between India & Pakistan showing the responsibility of Nixon and Kissinger.







FEBRUARY WAS THE BLACK HISTORY MONTH AT QUEENS LIBRARY, JAMAICA